Avis

 

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Je compare Jacques Jacob à Amélie Nothomb avec un peu moins de souplesse et plus de rationalisme. Son roman " Ma mémoire à l’ombre de tes mains " est une œuvre magnifique, surtout dans la mesure où, en ce qui me concerne, je suis flatté par l’éloquence du décor rural qu’il campe. Dès la première page, on entre directement dans le suspense. Les deux tragédies parallèles, tant des individus que des couples et leur rencontre finale, sont remarquables. Leurs cheminements, tellement étrangers au départ, sont habillement tramés. La psychologie des acteurs est finement analysée, l’observation du vécu est captivante. L’utilisation du présent comme référence temporelle donne au texte un muscle et une vie que le passé serait peut-être moins compétent à procurer. En plus, le contraste entre le présent et les scènes du passé est ainsi plus marqué. Jacques Jacob a une énorme capacité d’écriture. On sent qu’il aime écrire. On voit la recherche, le goût de la perfection et de la transmission du message bien rédigé. Le plaisir, le besoin de la rigueur.                                                                                                                                  Pierre Lepage. Meix-devant-Virton

 

 

Bon écrivain l’artiste Jacques Jacob. Son roman "Rien ne sert d’oublier" en est un bon exemple. J’ai apprécié l’écriture, la richesse du vocabulaire, le talent poétique et l’histoire émouvante. 

                                                                                                                                                                                                     P. Richet

 

Originaires du sud de la Belgique, nous avons découvert dans "Ma mémoire à l’ombre de tes mains " la Ferme des Hayon, devenue la Ferme de la Renardière, l’abbaye d’Orval, devenue l’abbaye d’Avlor, mais aussi d’autres lieux. Cela dit, ce roman nous a époustouflés par son histoire, par son écriture et par sa force.                                                                                                     Monique et Claude M. Arlon.

 

 

Rien ne sert d’oublier.

Voilà un livre qui ne passera pas inaperçu. On voudrait le classer, mais il se dérobe : inclassable. Certes il sent le terroir. Mais ce n’est pas le fruit d’une contingence : il fallait que l’histoire fasse corps avec le vécu de l’auteur, lequel est loin d’être mièvre. Au roman régional il emprunte les confitures et le "pel", mais il y mêle d’autres suavités que celle du miel. À l’évocation de son passé, Jacques Jacob nous convie à un bien autre bal que celui de la nostalgie. Il brosse un tableau noir de son enfance et de sa jeunesse. Mais, pour autant, il ne sollicite aucune commisération. S’autorisant d’un humour qui grince, d’une poésie qui sourde ici et là, d’une symbolique, d’une truculence, mais aussi d’une liberté d’expression qui confine parfois à l’impudeur, on ne peut s’empêcher de lui trouver quelques influences de bon aloi : Devos, Delvaux, Brel et bien entendu Bazin. Mais ce qui frappe surtout, c’est cette volonté d’en découdre enfin avec ses démons, et avec lesquels il avait depuis longtemps pris date. Et pour y parvenir, toutes les armes sont permises : de la dérision, oui, mais aussi un couteau qui ne cesse de remuer la plaie pour vider l’abcès, ne nous laissant peu de chances d’en sortir indemnes. Si le style se veut pastel et la plume pinceau d’aquarelliste lorsque l’auteur décrit la nature, cette même plume va tremper dans la pire des ciguës lorsqu’il peint et dépeint son passé. Son œuvre n’aurait pu être que d’inspiration régionale, mais l’auteur s’est magnifiquement affranchi de cette contrainte, signant un roman saisissant de liberté, l’histoire d’un combat intérieur dont malgré tout – pour qui a le bonheur de connaître Jacques Jacob tant soit peu – il semble sorti vainqueur.                                                        A. Dumont Luxembourg

 

 

Étant artiste peintre, je partage ce qu’écrit Jacques Jacob concernant les clans et les rivalités sournoises entre les créateurs. Dans son roman « Rien ne sert d’oublier », un vieil homme dit à Gérald Grobaptiste :

« Restez solitaire. Protégez votre indépendance et refusez de prendre la forme du bocal dans lequel on voudrait vous enfermer. Vous entendrez l’heure du succès au carillon des critiques. Soyez certain que la critique négative attire toujours la curiosité. Avez-vous conscience du privilège que vous offrent vos détracteurs ? Alors, bénissez avec ferveur les vitupérateurs qui s’activent, bien malgré eux, au tressage de votre couronne ! Fuyez aussi les joutes oratoires, où l’on a ses groupes, ses têtes, où l’on ne souffre pas les éloignements du clan. Et surtout restez un insoumis et ne courbez l’échine devant personne ».

C’est tout à fait vrai et c’est ce que je fais désormais en m'éloignant de ces groupes où règne souvent une véritable jalousie.                                                                                                                                                                         PA Breton

 

 

Superbe. J’ai lu d’une traite "Rien ne sert d’oublier".                                                                     Christiane B. Toulon

 

 

À force d’entendre dire que le roman "Ma mémoire à l’ombre de tes mains" est vraiment bien, je me suis laissé tenter. Vraiment, je ne suis pas déçu. C’est beau. C’est émouvant. C’est très bien écrit.

                                                                                                                                                                                                    M. Gilson

 

C’est en 1980, au Canada, dans une galerie d’Edmonton, que j’ai découvert des œuvres de l’artiste Jacob. Récemment, j’ai trouvé quelques aquarelles, pastels, dessins et peintures de lui à Lausanne. J’ai découvert, en plus, un écrivain qui a un beau brin de plume et qui m’a émue au travers ses romans : Ma mémoire à l’ombre de tes mains et Rien ne sert d’oublier. Ces romans, sans raideur, sans ennui, sont des lectures poignantes et passionnantes qui se dévorent.            Ginette Laroche

 

 

Dommage que ce site n’accorde aucune place aux sculptures de l’artiste. Des œuvres rares, de bonne facture, dispersées lors d’une vente à Bruxelles. Des douleurs musculaires obligèrent Jacob à ne pas poursuivre ses œuvres en trois dimensions. J’ai exposé certaines de ses œuvres aux USA et en Nouvelle-Zélande.                                                                                                                 J-L. R marchand d’art

 

 

 Le roman "Ma mémoire à l’ombre de tes mains" m’a émue. J’ai beaucoup apprécié l’histoire et l’écriture. Je connaissais l’artiste pour avoir visité l’une de ses expositions de peintures. J’ai retrouvé à travers ses mots le peintre et le poète. J’ai découvert aussi un homme à l’humour parfois cinglant. Belle, très belle lecture.                                                                                                                                                                   M-S Poncelet

 

 

"Rien ne sert d’oublier" m’a remué le cœur. Très belle écriture. Un tel roman est l’honneur de la belle littérature.                                                                                                                     P.M. de Saint-Gratien

 

 

J’ai été absorbé par la lecture des deux derniers romans de Jacques Jacob. Deux belles histoires émouvantes.                                                                                                                                                                                    A-L. Ciney

 

 

"Rien ne sert d’oublier"…Dans l’écriture colorée on reconnaît aisément le peintre qui semble trouver une consolation dans son amour de la nature. Il lui prête ses états d’âme qui restent sombres malgré tous les efforts pour évacuer les stigmates d’une vie abîmée par un père tyrannique et méchant. Un tel ouvrage mériterait d’être traité sous forme de bande dessinée ou de dessins animés. La jeunesse trouverait, sous une telle forme mise à sa portée, une raison de se révolter contre les abus d’autorité, voire plus. L’artiste en a le talent puisqu’il est artiste peintre, mais en aura-t-il la volonté et l’énergie ? En mesure-t-il l’aspect pédagogique que cela représenterait ? Lui qui a commencé sa carrière en tant qu’enseignant. Je l’espère.                                              Bernard Galtier

 

 

 

Dans ce roman, bien que l’abbaye d’Orval porte le nom d’abbaye d’Avlor, que la ferme des Hayons devienne la Ferme de la Renardière et que la petite ville de Virton porte le nom de Lodincourt, on reconnaît aisément les lieux décrits dans " Ma mémoire à l’ombre de tes mains". Ceci dit, mon mari et moi avons beaucoup aimé ce roman qui met en parallèle la vie de deux couples. Jacques Jacob trouve toujours les mots justes pour nous faire aimer ou pour nous faire détester certains de ses personnages. Si nous avons pris beaucoup de plaisir à lire ses autres romans, celui-ci nous a particulièrement émus. J’ajoute que lorsque cet auteur décrit des lieux, on retrouve toujours la vision du peintre paysagiste.                                                                                                                            S. et M. Clément

 

 

Je connaissais l’écrivain Jacques Jacob. J’avais lu son précédent roman. Je le retrouve cette fois défendant la cause des femmes harcelées dans "Le cœur au passé". Ce roman ne peut que plaire aux femmes qui trouveront en cet auteur un véritable défenseur. J'ajoute qu'il y a dans l’écriture de cet écrivain quelque chose qui vous séduit d'emblée, quelque chose qui ressemble à de la musique.                                                                                                                                                           Catherine. M.  

Merci à l’auteur de participer au combat des femmes en les défendant et en dénonçant les agissements de certains hommes. Ce roman, "Le cœur au passé", de cet auteur devenu intimiste, a quelque chose de bouleversant et de rassurant, à la fois. Très belle lecture.                          Alice Magnette

 

 

"Ma mémoire à l’ombre de tes mains". Je trouve le titre original et beau. J’ai beaucoup apprécié. J’ai aimé ce parallèle entre ces deux couples : Babette-Franck et Hermeline-Lekas. Babette et Franck forment un couple fusionnel qui respire l’amour, le bonheur d’être ensemble… Mais la vie va leur jouer un bien mauvais tour. Quant au couple Hermeline-Lekas, c’est tout ce que le monde peut faire de plus vil et de plus bas… La force de l’écriture de Jacques Jacob est aussi de nous faire détester ce Lekas tout en prenant en pitié Hermeline, victime d’un être sans scrupule. C’est ça la magie de l’écriture de Jacques Jacob ; elle nous bouscule au plus profond de nous-même… Monique C.

 

   

Belle lecture et belle écriture "Le cœur au passé".

Ce roman qui relate une période de la vie d’une femme est une œuvre littéraire différente des précédentes. Ici, l’auteur évoque le sort d’une adolescente qui, devenue adulte, revit son passé.

Dans cette nouvelle œuvre littéraire, Jacques Jacob devient intimiste. Il appartient à ces auteurs qui vous séduisent et vous embarquent dans leur monde. Vraiment, "Le cœur au passé" m’a profondément émue et profondément bouleversée.                                                                                      Annabelle Pierrot

 

 

"Rien ne sert d’oublier". Récit direct, sans ambages, descriptif, ambiance captivante, suspens thriller dès la première page. Le mystère et la curiosité de la découverte d’un livre journal… Jacques Jacob est un poète qui écrit en prose et en couleurs dans ses peintures. Aucun sens ne lui échappe… Récit gouleyant comme un jeune sauvignon, souple et consistant, continu et attachant, invitant à découvrir la suite, suscitant la curiosité et l’envie de connaître l’évolution de l’histoire, la clé de l’énigme…                                                                                                                                 Pierre L.